Il n’Ă©tait pas un parent proche, mais ma femme voulait y aller. Je lui ai aussi rappelĂ© que je ne pouvais pas obtenir la permission, et que notre fille Ă©tait Ă l’Ă©cole et allait Ă un cours de tennis après l’Ă©cole, et j’ai dit que nous ne pouvions pas y aller, mais que je pouvais l’envoyer si elle le voulait.
Ma femme s’est prĂ©parĂ©e en peu de temps, je l’ai emmenĂ©e au terminal et l’ai mise dans le bus d’Izmir. Quand je suis rentrĂ© Ă la maison, Eda regardait la tĂ©lĂ© dans le salon. Je suis allĂ© aux toilettes et j’ai pris une douche. J’ai mis un short et je suis entrĂ© dans le salon et je me suis assis Ă cĂ´tĂ© d’ed. Il m’a embrassĂ© en disant d’ĂŞtre en bonne santĂ©. Eda Ă©tait une gentille fille de 18 ans. Puisque nous avons un enfant unique, je ne le gâterais pas pour une chose ou deux. Quand je plaisantais avec Eda, jouais Ă des jeux, les mains partout sur elle, un physique lisse , des jambes lisses , vaguement, je lui caressais les seins avec dĂ©sinvolture.
J’ai pensĂ© que c’Ă©tait une bonne opportunitĂ© pour mon rĂŞve, que je conçois depuis longtemps mais que je n’ai pas eu l’occasion de mettre en Ĺ“uvre. Je me suis levĂ© du couloir et suis allĂ© dans la chambre d’Eden. J’ai allumĂ© l’ordinateur et j’ai commencĂ© Ă regarder un film porno. J’ai jetĂ© le film sous l’Ă©cran, je suis allĂ© sur des sites pornographiques sur Internet et je les ai jetĂ©s sous l’Ă©cran. J’ai baissĂ© le volume du haut-parleur, penchĂ© la chaise d’ordinateur tout en arrière, ajustĂ© l’appareil dans mon short et appelĂ© eda.
Quand Eda est arrivĂ©e, je l’ai assise sur mes genoux, en disant surfons sur Internet. Après avoir parcouru quelques sites ordinaires, je me suis penchĂ© en arrière sur le canapĂ© et j’ai dit: allez-y. Je suis assis en arrière Ă la regarder, pendant que ses hanches dansaient sur ma bite.
Alors qu’il ouvrait les pages que j’avais jetĂ©es sous l’Ă©cran, il examinait attentivement les images racĂ©es Ă l’Ă©cran. J’ai dĂ©cidĂ© de retirer l’outil de mon short. J’ai demandĂ© si vous pouviez augmenter le volume de l’enceinte. Quand il s’est levĂ© et s’est penchĂ© en avant, j’ai sorti l’appareil de son short et l’ai fait asseoir dessus. ma bite reposait sur la culotte sous sa chemise de nuit et elle bougeait de plus en plus. Eda, d’autre part, fermait l’une des pages pornographiques et ouvrait l’autre.
Il Ă©tait temps d’allumer le film, je me suis penchĂ© en avant, j’ai cliquĂ© sur le film et je l’ai fait en plein Ă©cran. Je me suis assis et j’ai commencĂ© Ă regarder le film. Ensuite, je faisais des allers-retours sous le capot sur mes genoux sous prĂ©texte de faire des allers-retours avec le film.
Pendant qu’Eda regardait le film, elle posait des questions qui comprenaient la raison de la raideur qui forçait sa culotte. J’ai dit, asseyons-nous et regardons le film avec Eda sur la bite, et je vous dirai tout une fois que ce sera fini. Une fois le film terminĂ©, il n’y avait plus de questions Ă poser.
Nous avons Ă©teint l’ordinateur et avons commencĂ© Ă regarder la tĂ©lĂ©vision dans le salon. J’Ă©tais assis sur un seul siège et Eda Ă©tait allongĂ©e sur un triple siège en train de regarder. Un peu de temps passa, il se retourna, je pensais qu’il Ă©tait parĂ©. Il Ă©tait tard, j’ai Ă©teint la tĂ©lĂ© et je suis venu Ă l’urgence.
J’allais me lever et l’appeler pour qu’il aille se coucher Ă la place. Il faisait semblant de dormir. Dès que tu ne pourras pas dormir ici, j’ai pensĂ© que je t’emmènerais te coucher sur mes genoux. Quand je l’ai prise sur mes genoux, elle a dit les yeux fermĂ©s, non maman, laisse-moi dormir Ă cĂ´tĂ© de toi aujourd’hui. Je l’ai emmenĂ© dans la chambre et l’ai mis au lit.
J’ai allumĂ© la veilleuse et Ă©teint la lumière. J’ai aussi enlevĂ© mon short et me suis allongĂ© sur le lit. Eda se retourna et continua son tour de sommeil.
J’ai enlevĂ© la chemise de nuit sur toi, en disant que le temps deviendrait chaud. maintenant, il ne restait plus que sa culotte. Après avoir menti comme ça pendant un moment, j’ai lentement enlevĂ© sa culotte. Je suis arrivĂ© juste derrière lui, j’ai placĂ© l’outil dĂ©cemment entre ses jambes et je l’ai serrĂ© dans mes bras allongĂ© sur le cĂ´tĂ© comme lui.
En plus de dormir, son cĹ“ur battait vite. leur respiration s’accĂ©lĂ©rait alors que ma bite se dĂ©plaçait autour de leurs zones sexuelles. Je me suis arrĂŞtĂ© derrière lui et l’ai allongĂ© sur le dos. J’ai caressĂ© tout son corps avec ma main et j’ai un peu jouĂ© ses parties gĂ©nitales. Puis j’ai Ă©cartĂ© ses jambes, embrassĂ© et lĂ©chĂ© sa chatte pleine avec ma langue. Il continuait toujours son tour de sommeil. Je me suis levĂ© et j’ai mis ma bite sur son visage et ses lèvres. J’ai commencĂ© Ă faire des allers-retours entre ses deux lèvres pour qu’elle le prenne dans sa bouche. DĂ©c. J’en mettais un peu plus dans sa bouche chaque fois que j’allais et venais. Avec seulement la tĂŞte de la bite dans sa bouche, j’ai juste accĂ©lĂ©rĂ© et atteint le sommet du plaisir. J’ai Ă peine rĂ©ussi Ă aller aux toilettes et j’ai Ă©jaculĂ© lĂ -bas.
Nous n’avons pas Ă©tĂ© embrassĂ©s, sentis ou avons quittĂ© la place de l’Eden avant le matin. J’ai passĂ© ma bite sur tout son corps et Ă©jaculĂ© plusieurs fois sur son ventre, ses seins et ses fesses. Je me suis allongĂ© sur le dos et je l’ai pris sur moi, nous avons dormi de fond en comble dans tous les sens.Il faisait encore semblant de dormir, mais il s’est endormi sur moi vers le matin.
Je me suis levĂ© tĂ´t le matin, j’ai mis sa culotte et sa chemise de nuit et je l’ai recouverte d’un drap. Il a dĂ» partir tĂ´t parce que son Ă©cole Ă©tait le matin. Je l’ai rĂ©veillĂ© pour prĂ©parer son petit-dĂ©jeuner et prendre une douche. MĂŞme si c’Ă©tait difficile, il s’est levĂ© et est allĂ© Ă l’Ă©cole en dĂ©jeunant.
Je pensais Ă ce qui s’Ă©tait passĂ© la nuit sur mon lieu de travail et j’attendais avec impatience la soirĂ©e. Quand j’ai quittĂ© le travail un peu plus tĂ´t et que je suis rentrĂ© Ă la maison, Eda Ă©tait revenue du cours de tennis et prenait une douche. Disant que cette opportunitĂ© ne serait pas manquĂ©e, je me suis dĂ©shabillĂ©e et suis allĂ©e dans la salle de bain.
Eda prenait une douche le dos tournĂ© vers moi, et quand elle m’a vu entrer dans la salle de bain, elle a dit, bienvenue papa, tu es arrivĂ© tĂ´t aujourd’hui. J’ai dit que je ne me sentais pas bien, c’est pourquoi je suis parti tĂ´t. Il n’arrĂŞtait pas de prendre une douche en me tournant le dos.Sous prĂ©texte de mousser votre dos, je l’ai moussĂ© avec du shampoing en vous massant le dos, la taille, les hanches, l’arrière des jambes, les talons en partant de vos Ă©paules.
J’Ă©tais assis par terre quand je suis arrivĂ© sur ses talons. Lorsque l’arrière a Ă©tĂ© terminĂ©, il s’est tournĂ© vers l’avant et a lĂ©gèrement Ă©cartĂ© les jambes. C’Ă©tait presque comme s’il disait que la file d’attente Ă©tait Ă l’avant. En commençant par le bout des orteils, je lui ai savonnĂ© les jambes , la chatte , le ventre, les seins en les massant Ă nouveau. Je m’Ă©tais levĂ©, mais ma bite s’Ă©tait levĂ©e.
Il lava son corps savonneux et s’Ă©carta. Je me suis retournĂ© et j’ai commencĂ© Ă prendre une douche. Il m’a tirĂ© par le bras avec un flacon de shampoing Ă la main et m’a dit que si tu veux, je te savonnerai le dos.
C’est ce que j’attendais de toute façon, alors j’ai dit bien sĂ»r.
Quand il m’a savonnĂ© le dos comme je l’ai fait et est venu sur mes talons, j’ai fait la mĂŞme chose que lui et je me suis tournĂ© vers l’avant et j’ai lĂ©gèrement ouvert mes jambes.
Mon outil Ă©tait debout, en commençant par le bout de mes doigts, et quand il est arrivĂ© Ă mon outil, la tĂŞte d’Eden Ă©tait au niveau de mon outil, et ses lèvres Ă©taient proches de mon outil Ă une distance des lèvres.
Avec une petite tape sur l’arrière de sa tĂŞte, j’ai collĂ© ses lèvres sur ma bite et lui ai dit de continuer.
Elle s’embrassa un peu, mais ce n’Ă©tait pas suffisant. j’ai enduit ma bite de shampoing, versĂ© beaucoup de shampoing sur ma main et lavĂ© le devant de l’edan. J’ai ouvert ses jambes et l’ai tenu sur mes genoux.
Je laissais tomber le Leurre sur mes genoux sur la bite avec des mouvements rythmés pour passer entre les minuscules lèvres de sa chatte.
Lorsque la tĂŞte de l’instrument est entrĂ©e, elle a commencĂ© Ă se resserrer et Ă se contracter. J’ai dit ne serrez pas, relâchez-vous. Quand il s’est desserrĂ© et relâchĂ©, je l’ai laissĂ© complètement sur l’outil avec un mouvement brusque et j’ai appuyĂ© en mĂŞme temps j’ai fait un mouvement pour aller plus loin avec mon outil. Mon appareil Ă©tait complètement perdu dedans, a failli tomber dans un volcan. Au mĂŞme moment, le cri d’Eden faisait gĂ©mir tout l’endroit.
Je vais couvrir ta bouche d’une main et la retirer d’accord, mais quand j’ai ouvert ta bouche, j’ai dit ne crie pas.
J’ai essayĂ© de le soulever en l’attrapant par les aisselles, mais j’avais l’impression que ma bite Ă©tait coincĂ©e lĂ et que je mourais de plaisir. Je l’ai ramassĂ© rapidement et je m’en suis sorti. Le sang d’Eda s’est vidĂ© de moi.