Bonjour, lecteurs d’histoires d’inceste . Je m’appelle Kenan, j’ai 21 ans, je vis Ă Bursa avec ma famille. Cette expĂ©rience dont je vais vous parler a commencĂ© il y a 3 ans et se poursuit Ă intervalles rĂ©guliers.
Nous vivions avec ma mère, mon père et ma sĹ“ur, Yonca, qui a 5 ans de moins que moi. Ma sĹ“ur, qui est le rĂ´le principal de l’histoire que je vais raconter, est maintenant retournĂ©e chez son père après son divorce.
Ma sĹ“ur avait alors 24 ans. C’est une belle femme qui mesure 1,65 mètre, a les cheveux foncĂ©s et est lĂ©gèrement en surpoids. Après 2 ans de mariage, ils n’arrivaient pas Ă s’entendre et ont dĂ©cidĂ© de divorcer.
histoires d’inceste
Photo rĂ©elle de Ma Soeur Salope. Il l’envoyait pendant que j’Ă©tais dans l’armĂ©e, je voulais le partager avec vous.
Dès le dĂ©but de mon adolescence, j’ai toujours eu un intĂ©rĂŞt pour ma sĹ“ur. Avant de se marier, elle portait toujours des pantalons serrĂ©s et ses hanches magnifiques m’ont Ă©poustouflĂ©. C’Ă©tait une femme qui prĂ©fĂ©rait les robes dĂ©colletĂ©es qui montraient ses gros seins. Surtout Ă la maison, je ne pourrais jamais oublier leur Ă©tat naturel et leurs mouvements imprudents. En raison de leur confort, j’ai vu ses seins et toutes les lignes de son corps en dĂ©tail plusieurs fois en nettoyant ou en m’allongeant. Ce que j’ai vu m’a donnĂ© encore plus envie de lui. De temps en temps, quand je jouais avec mon petit frère, la pièce venait Ă nous et chaque fois que je le pouvais, je touchais son corps et essayais de le sentir. L’incident que je vais vous raconter s’est produit quand ma sĹ“ur Ă©tait mariĂ©e.
Ă€ cette Ă©poque, nous sortions avec une belle fille du quartier et nous parlions toujours de sexe. Un jour, alors que mon père Ă©tait au travail, ma mère a dit qu’elle allait rendre visite Ă des parents avec mon frère, et ils ont quittĂ© la maison avec mon frère. J’ai immĂ©diatement pensĂ© Ă ma copine et je l’ai appelĂ©e et je lui ai fait savoir et lui ai demandĂ© si tu venais. La chambre m’a accueilli avec enthousiasme et 15 minutes plus tard, on a frappĂ© Ă la porte. C’est mon amant qui est venu, mon cĹ“ur s’est mis Ă battre rapidement. Je pouvais sentir son excitation aussi. Après quelques gestes timides, nous nous sommes tous les deux progressivement dĂ©sintĂ©grĂ©s et avons commencĂ© Ă agir dĂ©tendus. Nous avons commencĂ© Ă nous embrasser et Ă nous dĂ©shabiller lentement. Nous agissions maladroitement, mais nous vivions des moments inoubliables. Nous venions de nous dĂ©shabiller et mon copain a pris ma bite dans sa bouche quand j’ai soudainement eu une grande peur avec la voix de “qu’est-ce que tu fais” et quand je me suis tournĂ© vers la direction de la voix, j’ai vu ma sĹ“ur lĂ -bas. Ma sĹ“ur avait la clĂ© de notre maison et venait une ou deux fois par semaine. Ma mère avait donnĂ© la clĂ© Ă ma sĹ“ur au cas oĂą j’Ă©tais Ă cĂ´tĂ© ou ailleurs. J’ai Ă©tĂ© choquĂ© Ă ce moment-lĂ et j’ai gelĂ©, ne sachant pas quoi faire. Ma copine, comme moi, Ă©tait dans un Ă©tat de peur et ne savait pas quoi faire. Ma sĹ“ur me regardait et ma bite retournĂ©e bizarrement. Puis soudain, il est allĂ© dans la cuisine.
Nous avons commencĂ© Ă nous habiller et ma copine a immĂ©diatement quittĂ© la maison avec un sentiment de peur et de gĂŞne. Ne sachant pas quoi faire, je suis timidement allĂ© voir ma sĹ“ur. Je m’excuserais et le supplierais de ne le dire Ă personne.
Quand je suis entrĂ© dans la cuisine, ma sĹ“ur Ă©tait assise sur la chaise en train de fumer une cigarette. Avant que je commence Ă parler, il m’a dit: “Ne te dĂ©fends jamais, c’est très mal.”J’Ă©tais complètement silencieux et j’ai baissĂ© la tĂŞte et acceptĂ© la situation. Puis ma sĹ“ur s’est rendu compte que j’Ă©tais malheureuse et triste et a commencĂ© Ă agir doucement en me disant: “Je te comprends aussi, en fait, tu es jeune et tu as de l’Ă©nergie, tu veux la jeter. J’Ă©tais surpris et ravi, car il Ă©tait clair qu’il n’allait rien dire Ă mes parents Ă la fin de cette phrase. Puis ma sĹ“ur m’a regardĂ© et m’a dit: “Votre matĂ©riel n’est pas mal non plus” et a souri. J’ai Ă©tĂ© très surpris et j’ai regardĂ© les actions de ma sĹ“ur et j’ai Ă©tĂ© encouragĂ©. J’ai dit Ă ma sĹ“ur, peux-tu parler plus clairement et je l’ai approchĂ©e. Tout d’un coup, il a mis sa main sur ma bite et a dit “il ne baise pas avec ton beau-frère de toute façon, regarde cette grosse bite”, il a attrapĂ© ma bite et l’a serrĂ©e. C’Ă©tait comme si je vivais dans un autre monde, subissant choc après choc. Ma sĹ“ur a sorti ma bite et a commencĂ© Ă la caresser. C’Ă©tait comme si j’allais mourir de surprise et de plaisir.
Ma sĹ“ur n’arrĂŞtait pas de parler et de me caresser la bite. “Je veux une bite, Kenan, je sais que tu veux me baiser aussi, tu me touches Ă chaque occasion, penses-tu que je ne l’ai pas remarquĂ©”, a-t-il dit. J’Ă©tais très surpris, mais je ne pouvais pas parler de plaisir et d’Ă©tonnement. Ma sĹ“ur a pris ma bite dans sa bouche et la lĂ©chait comme une folle.
Après quelques minutes de lĂ©chage, il s’est levĂ© et a embrassĂ© mes lèvres et m’a dit: “DĂ©shabillons-moi et faisons ce que tu veux faire.”J’Ă©tais comme devenu fou. J’ai relevĂ© la jupe au-dessus du genou de ma sĹ“ur et j’ai commencĂ© Ă lui caresser les jambes. Ce furent les moments les plus mĂ©morables de ma vie. Puis j’ai commencĂ© Ă caresser ses seins sur son coton peignĂ© alors qu’elle caressait ses jambes charnues. Je l’apprĂ©ciais Ă©normĂ©ment. Puis j’ai enlevĂ© son coton peignĂ© et j’ai commencĂ© Ă lui lĂ©cher les tĂ©tons. Ma sĹ“ur ne portait pas de soutien-gorge. Il pressait ma tĂŞte quand j’ai refermĂ© ma bouche, presque aussi impatient que je l’Ă©tais.
Après avoir lĂ©chĂ© pendant un moment, j’ai allongĂ© ma sĹ“ur sur le dos sur la table et j’ai commencĂ© Ă frotter ma bite sur sa chatte glabre nouvellement rasĂ©e. Ma sĹ“ur serrait les dents et me disait: “Va te faire foutre, ton beau-frère ne me baise pas”.
Alors qu’il me parlait comme ça, j’ai commencĂ© Ă baiser et Ă accĂ©lĂ©rer. J’ai baisĂ© ma sĹ“ur sur la table pendant environ 10 minutes. Puis il s’est penchĂ© devant moi et a dit “baise-moi maintenant” et m’a redonnĂ© faim. J’ai continuĂ© Ă baiser ma sĹ“ur en regardant son magnifique cul et en le dĂ©chirant avec ma main. Alors que j’entrais et sortais, il me rendait excitĂ©e en disant “Allez, baise-moi plus vite, nourris-moi, ta soeur, lion, baise-moi”. J’ai dit que j’allais jouir après avoir baisĂ© pendant un moment et il s’est tournĂ© vers moi et m’a demandĂ© de jouir sur ses seins.
Puis ma sĹ“ur a commencĂ© Ă s’habiller et je suis allĂ©e dans ma chambre avec une psychologie diffĂ©rente. 10 minutes se sont Ă©coulĂ©es, avant que je puisse Ă nouveau parler Ă ma sĹ“ur, ma mère et mon frère Ă©taient arrivĂ©s. Je n’ai jamais quittĂ© la pièce pour penser Ă ce qui s’Ă©tait passĂ© et j’ai commencĂ© Ă penser Ă ce qui s’Ă©tait passĂ© avec Ă©tonnement. Ma sĹ“ur, qui aspirait et bavardait avec ma mère et mon frère pendant un moment, lui a dit au revoir et est rentrĂ©e Ă la maison.
Ma sĹ“ur a commencĂ© Ă rester loin de moi après ce que nous avons vĂ©cu et elle m’Ă©vitait particulièrement lorsque nous nous sommes rĂ©unis en famille. Alors que je rĂŞvais constamment de baiser Ă nouveau sa chatte charnue.
Ă€ ce moment-lĂ , j’ai Ă©tĂ© coupĂ© de l’Ă©cole et il Ă©tait temps pour le service militaire. Conjoints, amis, parents se sont rassemblĂ©s et sont venus nous voir. Nous allions avoir un divertissement modeste et manger des repas.
Ma sĹ“ur et mon beau-frère sont arrivĂ©s avant tout le monde et ma sĹ“ur allait aider ma mère avec la nourriture. Il y avait une pièce Ă cĂ´tĂ© de notre maison que nous utilisions comme garde-manger. Ma mère a dit Ă ma sĹ“ur d’aller au garde-manger et d’aller chercher des provisions. J’Ă©tais dans la cuisine Ă ce moment-lĂ et j’ai immĂ©diatement suivi ma sĹ“ur.
Ma sĹ“ur portait une robe noire longue. Quand il est entrĂ© dans la cave, je l’ai suivi derrière lui et j’ai fermĂ© la porte. Personne n’Ă©tait susceptible de nous voir. Quand je suis entrĂ©, ma sĹ“ur a regardĂ© puis s’est retournĂ©e Ă nouveau. Mais Ă la maison, il me jetait des regards Ă©vasifs de temps en temps. Il me parlait avec force pour que mes parents ne comprennent pas, mais sans le montrer Ă personne.
Ma sĹ“ur n’arrĂŞtait pas de me tourner le dos et de choisir des matĂ©riaux, mais elle s’arrĂŞtait de temps en temps, comme si elle attendait un geste de ma part. Je l’ai serrĂ© dans mes bras par derrière et lui ai dit que je le voulais tellement. Il ne rĂ©pondait pas, mais il ne s’Ă©loignait pas non plus. J’ai collĂ© ma bite et tout mon corps Ă ma sĹ“ur.
Sa respiration s’accĂ©lĂ©rait et il Ă©tait Ă©vident qu’il aimait les histoires de sexe et qu’il me voulait aussi. J’ai attrapĂ© ses seins et j’ai commencĂ© Ă l’embrasser sur la nuque.
Ma sĹ“ur s’est soudainement retournĂ©e et m’a regardĂ© dans les yeux et a dit: “Je te veux aussi, mais pas comme ça ici” et m’a embrassĂ© les lèvres, et elle Ă©tait sur le point de sortir avec le matĂ©riel qu’elle avait achetĂ©, quand j’ai attrapĂ© sa taille et l’ai tirĂ©e et j’ai commencĂ© Ă embrasser ses lèvres, Ă la toucher et Ă lui serrer le cul. Oui, nous ne pouvions pas avoir de relations sexuelles lĂ -bas, mais nous avons tous les deux Ă©jaculĂ© en nous embrassant et en nous frottant en peu de temps. Nous avons pris les fournitures ensemble et avons quittĂ© le garde-manger en souriant.
Nous Ă©tions assis en famille et bavardions. Ma sĹ“ur souriait maintenant et faisait un clin d’Ĺ“il Ă chaque fois qu’elle me regardait. Les invitĂ©s qui avaient mangĂ© Ă©taient partis. J’allais prendre le bus de la gare routière le matin et mon beau-frère a dit “reste avec nous ce soir, je te dĂ©pose le matin, et la gare routière est très proche de nous”. Bien que ma mère et mon père ne l’aient pas apprĂ©ciĂ©, nous avons dĂ©cidĂ© de faire ce que mon beau-frère a dit, avec l’insistance de ma sĹ“ur et mon consentement. J’ai dit au revoir Ă tout le monde et je suis montĂ© dans la voiture et je suis allĂ© voir mes sĹ“urs. Nous allions nous lever tĂ´t le matin et comme il Ă©tait tard, ils m’ont immĂ©diatement prĂ©parĂ© un lit, m’ont dit bonne nuit et se sont couchĂ©s.
Je n’avais aucun doute que ma sĹ“ur viendrait me voir. “Tu dors?”il a appelĂ© Ă voix basse. Je lui ai dit que je ne dormais pas et que je l’attendais et l’ai appelĂ© au lit. Il est entrĂ© dans mon sein et a immĂ©diatement commencĂ© Ă m’embrasser. Elle embrassait mon cou et mes lèvres, pendant que je serrais ses mamelons, qui Ă©taient sur le point de sortir, et que je jouais avec ses pointes. Ma sĹ“ur est descendue et a commencĂ© Ă me lĂ©cher la bite. Il n’avait pas besoin de le soulever, il Ă©tait dĂ©jĂ debout pendant que nous nous embrassions.